L’hommage de la photographe Maria Abranches aux femmes premières de corvée

Immigrée angolaise, Ana Maria Jeremias a dû quitter sa famille et son pays dès l’âge de 9 ans pour travailler au service d’une famille au Portugal. A 60 ans, elle continue de trimer comme employée de maison et aide-soignante. Maria Abranches a partagé ce quotidien de labeur qu’elle restitue dans la série « Maria », primée en avril par le World Press Photo.

L’hommage de la photographe Maria Abranches aux femmes premières de corvée
Immigrée angolaise, Ana Maria Jeremias a dû quitter sa famille et son pays dès l’âge de 9 ans pour travailler au service d’une famille au Portugal. A 60 ans, elle continue de trimer comme employée de maison et aide-soignante. Maria Abranches a partagé ce quotidien de labeur qu’elle restitue dans la série « Maria », primée en avril par le World Press Photo.