Festival de Cannes : « L’Engloutie », à la lisière du visible et de l’invisible

Présenté à la Quinzaine des cinéastes, le premier long-métrage de Louise Hémon, subtil et pulsionnel, plonge une jeune institutrice jouée par Galatea Bellugi dans une vallée isolée des Hautes-Alpes.

Festival de Cannes : « L’Engloutie », à la lisière du visible et de l’invisible
Présenté à la Quinzaine des cinéastes, le premier long-métrage de Louise Hémon, subtil et pulsionnel, plonge une jeune institutrice jouée par Galatea Bellugi dans une vallée isolée des Hautes-Alpes.