En Bolivie, la gauche, divisée, pourrait perdre les élections après vingt ans d’hégémonie

Les Boliviens voteront dimanche 17 août pour le premier tour de la présidentielle et le renouvellement du Parlement. La gauche devrait payer le prix des effets de la crise économique et de ses querelles intestines, alors que l’ex-président Evo Morales n’a pas été autorisé à se présenter.

En Bolivie, la gauche, divisée, pourrait perdre les élections après vingt ans d’hégémonie
Les Boliviens voteront dimanche 17 août pour le premier tour de la présidentielle et le renouvellement du Parlement. La gauche devrait payer le prix des effets de la crise économique et de ses querelles intestines, alors que l’ex-président Evo Morales n’a pas été autorisé à se présenter.