Zabih Yaqubee, réfugié et éclaireur du «Belem», ne veut pas être oublié
Zabih Yaqubee, réfugié et éclaireur du «Belem», ne veut pas être oublié
Il y a tout juste un an, Marseille vivait en avant-première la ferveur des Jeux olympiques et paralympiques. Le 8 mai 2024, la flamme olympique arrivait dans la cité phocéenne depuis Athènes. Transportée à bord du Belem, elle était escortée par quinze éclaireurs, des jeunes en quête d’une insertion professionnelle. Parmi eux, un réfugié afghan, Zabih Yaqubee, 26 ans. Il travaille désormais dans un chantier naval à la Rochelle, mais peine à stabiliser sa situation administrative et familiale.
Il y a tout juste un an, Marseille vivait en avant-première la ferveur des Jeux olympiques et paralympiques. Le 8 mai 2024, la flamme olympique arrivait dans la cité phocéenne depuis Athènes. Transportée à bord du Belem, elle était escortée par quinze éclaireurs, des jeunes en quête d’une insertion professionnelle. Parmi eux, un réfugié afghan, Zabih Yaqubee, 26 ans. Il travaille désormais dans un chantier naval à la Rochelle, mais peine à stabiliser sa situation administrative et familiale.