Les journalistes gazaouis en colère contre l'indifférence générale, mais déterminés à continuer à raconter
Les journalistes gazaouis en colère contre l'indifférence générale, mais déterminés à continuer à raconter
Les journalistes gazaouis considèrent que les silences gênants et le manque de condamnations, notamment de la frappe israélienne, lundi 25 août, contre l'hôpital al Nasser sont un manque de solidarité de la part de la presse occidentale envers leurs collègues palestiniens tués. Les conditions de travail sont inimaginables. Plus de 200 journalistes ont été tués en deux ans. Et eux continuent à travailler.
Les journalistes gazaouis considèrent que les silences gênants et le manque de condamnations, notamment de la frappe israélienne, lundi 25 août, contre l'hôpital al Nasser sont un manque de solidarité de la part de la presse occidentale envers leurs collègues palestiniens tués. Les conditions de travail sont inimaginables. Plus de 200 journalistes ont été tués en deux ans. Et eux continuent à travailler.