Le gouvernement grec opte pour une politique de criminalisation des migrants

Après la suspension temporaire de l’accès à l’asile pour les exilés arrivant en Crète en provenance de Libye, le gouvernement grec doit voter, mardi, une loi prévoyant jusqu’à trois ans d’emprisonnement pour les étrangers restés sur le territoire national après le rejet de leur demande de régularisation.