Investir dans le vice est-il payant ?

Jeux d’argent, alcool, tabac, armes : les fonds « sin stocks », basés sur les « actions du péché », réunissent des entreprises à l’activité controversée. Leurs promoteurs les présentent comme des placements à l’abri des récessions, une assertion démentie par les faits.

Investir dans le vice est-il payant ?
Jeux d’argent, alcool, tabac, armes : les fonds « sin stocks », basés sur les « actions du péché », réunissent des entreprises à l’activité controversée. Leurs promoteurs les présentent comme des placements à l’abri des récessions, une assertion démentie par les faits.