France: le «droit à l'aide à mourir», un sujet sensible qui divise soignants, patients et proches

En France, le débat parlementaire se poursuit sur la délicate question de la fin de vie. Les députés ont approuvé, samedi 17 mai, la création d'un « droit à l'aide à mourir », dans une version qui prévoit que les patients devront s'auto-administrer la substance létale s'ils en ont la capacité. Le texte sur l’aide active à mourir divise puisqu'il pose aussi la question de l'ouverture à l'euthanasie. Un geste qui implique aussi le corps médical. RFI a tendu son micro aux proches d'un patient qui en a bénéficié, mais aussi à un médecin français qui y est opposé.

France: le «droit à l'aide à mourir», un sujet sensible qui divise soignants, patients et proches
En France, le débat parlementaire se poursuit sur la délicate question de la fin de vie. Les députés ont approuvé, samedi 17 mai, la création d'un « droit à l'aide à mourir », dans une version qui prévoit que les patients devront s'auto-administrer la substance létale s'ils en ont la capacité. Le texte sur l’aide active à mourir divise puisqu'il pose aussi la question de l'ouverture à l'euthanasie. Un geste qui implique aussi le corps médical. RFI a tendu son micro aux proches d'un patient qui en a bénéficié, mais aussi à un médecin français qui y est opposé.