« Est-ce qu’on a fini par avaler ce qu’on veut nous faire croire, qu’il y aurait une culture populaire et une autre qui ne serait pas pour nous tous ? »

Dans une tribune au « Monde », la romancière Maryline Desbiolles rend hommage à la puissance de l’art comme lieu des utopies et de la liberté.

« Est-ce qu’on a fini par avaler ce qu’on veut nous faire croire, qu’il y aurait une culture populaire et une autre qui ne serait pas pour nous tous ? »
Dans une tribune au « Monde », la romancière Maryline Desbiolles rend hommage à la puissance de l’art comme lieu des utopies et de la liberté.