En Turquie, les limites de l’équilibrisme en diplomatie
En Turquie, les limites de l’équilibrisme en diplomatie
Si l’engagement de Recep Tayyip Erdogan en faveur d’un monde multipolaire est compréhensible, alors que les grandes puissances deviennent de moins en moins fiables, sa diplomatie transactionnelle n’a fait avancer aucun des intérêts nationaux les plus urgents du pays.
Si l’engagement de Recep Tayyip Erdogan en faveur d’un monde multipolaire est compréhensible, alors que les grandes puissances deviennent de moins en moins fiables, sa diplomatie transactionnelle n’a fait avancer aucun des intérêts nationaux les plus urgents du pays.