Le 10 juin 2025, deux événements dramatiques ont ravivé une angoisse sourde : celle d’une école qui vacille. À Nogent, en Haute-Marne, une surveillante est poignardée par un élève de 13 ans à la porte du collège. Le même jour, à Graz, en Autriche, un adolescent ouvre le feu dans son établissement, tuant dix personnes, dont un jeune Français. Deux drames, deux contextes, une même sidération : celle de voir l’école frappée en son cœur, là où l’on pensait encore pouvoir préserver un semblant de paix.
Le 10 juin 2025, deux événements dramatiques ont ravivé une angoisse sourde : celle d’une école qui vacille. À Nogent, en Haute-Marne, une surveillante est poignardée par un élève de 13 ans à la porte du collège. Le même jour, à Graz, en Autriche, un adolescent ouvre le feu dans son établissement, tuant dix personnes, dont un jeune Français. Deux drames, deux contextes, une même sidération : celle de voir l’école frappée en son cœur, là où l’on pensait encore pouvoir préserver un semblant de paix.