A Marseille, l’écho optimiste de « Tout va bien » : « Je voulais montrer ce qu’on ne voit pas, des jeunes migrants qui apprennent notre langue, suivent une formation et trouvent leur place »

A Marseille, l’écho optimiste de « Tout va bien » : « Je voulais montrer ce qu’on ne voit pas, des jeunes migrants qui apprennent notre langue, suivent une formation et trouvent leur place »
Le réalisateur Thomas Ellis a suivi pendant près de deux ans le parcours en France de cinq mineurs non accompagnés venus de Côte d’Ivoire, de Guinée et d’Algérie. Avant sa sortie en salle, le 7 janvier, son documentaire rencontre un franc succès dans les collèges et les lycées.